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Aâpfull

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 Dolly Salz

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Dolly SalzDolly SalzMessages : 17
Date d'inscription : 05/11/2012
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MessageSujet: Dolly Salz   Dolly Salz EmptyJeu 8 Nov - 15:20

Coucou l'équipe!

Voici ma fiche! Désolée pour le manque de mise en page, je trouvais ça trop chiant et d'une corvée interminable de rentrer le code et tout... Very Happy

Je me suis inscrite il y a quelques mois sous le nom de Mimi Langel, je n'ai pas eu le temps de me reconnecter depuis et fus vraisemblablement bannie du forum... Est-il possible de supprimer le compte de Mimi Langel?

Merci de votre lecture!

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Nom : Salz
Prénom(s) : Drucilla Thérèse Elvira Yong-Anh
Surnom : Dolly
Âge : 18 ans
Métier : Compositrice, pianiste concertiste, danseuse classique et comédienne. À l’Aâpfull School : productrice de concerts et spectacles, stages de danse, d’orchestre et de théâtre.
Sexe : Féminin
Orientation sexuelle : hétéro
Origine(s) : Chine, France, Suisse, USA
Aâpfull : Dénaturation
Signe du Zodiaque : Vierge
Statut RPG : Fiancée veuve

ANATOMIE

Représentez-vous la belle Carmen de Prosper Mérimée :

[…] à chaque défaut elle réunissait une qualité qui ressortait peut-être plus fortement par le contraste. C'était une beauté étrange et sauvage, une figure qui étonnait d'abord, mais qu'on ne pouvait oublier. Ses yeux surtout avaient une expression à la fois voluptueuse et farouche que je n'ai trouvée depuis à aucun regard humain. […]

Obnubilez-la d’une verve de pudeur anodine, gauchissez ses traits par un lourd parfum d’Extrême-Orient, et vous obtenez Dolly dans toute sa sensualité.

À sa vue, on est d’abord médusé par une certaine expression dépouillée et innocente, presque diaphane, diluée dans un philtre de majesté implicite. Elle ne cherche jamais à démontrer ; elle est. Le souffle de son regard puissant et monolithique suffit à immobiliser l’attention de toute une assistance. L’énergie et la mobilité de ses lèvres pulpeuses détonnent l’éclat de sa voix harmonieusement grave. Sa longue et épaisse toison noire brasille sous les étincelles de son souverain passage, marqué d’une éloquence sincère et intensément réfléchie.

Il n’est pas complexe d’imaginer le corps d’une danseuse classique. Ces gracieuses nymphes enchantées ont presque toutes la même carrure : pieds martyrisés, fines jambes de béton, fesses rebondies, tronc mince et fluide comme le cou d’un cygne, petits seins fermes, bras d’ange, nuque de soie et face langoureuse. Exception chez Dolly : taille d’1m70, supérieure à la norme des ballerines.

« Mademoiselle Salz » possède un charme hypnotique originel de son triple sceptre : la mélancolie, la suprématie intérieure due à une atroce souffrance et l’ignorance presque exagérée de sa surprenante beauté. Cependant, détrompez-vous : elle s’habille avec un perpétuel glamour sans extravagance, toujours avec sobriété et une incroyable élégance ; elle se soigne comme une reine, charnellement et intellectuellement, pour exposer continuellement son suc en société comme tout vrai artiste performant qui respecte sa place.

PSYCHOLOGIE

À dix-sept ans, le martyre a littéralement transformé l’insouciante Dolly en une jeune femme troublée aux mœurs puissantes, fière dans sa rage, mais toujours passionnément philanthrope à l’ombre de sa nature débonnaire et généreuse. Passablement surdouée de naissance, la petite vécut son enfance dans un havre de bonheur exquis, entourée de sa famille, ne manquant de rien, aimée de tous et gorgée de musique.

Dolly vit pour l’art (la musique, la danse, la scène) et voue son esprit à cette constante recherche spirituelle d’un certain idéal esthétique inapprochable comme l’horizon. Elle se rendit ainsi précoce. Nous lirons sa biographie dans la Chronologie ci-dessous ; mais voici quelques composants phares de sa personnalité :

Son père, organiste entre autres (anciennement pianiste raté), lui fit découvrir les merveilles du piano en concomitance avec ses langues maternelles (Français, Anglais, Mandarin, Italien). Elle perdura talentueusement dans la matière et obtint son Diplôme de Soliste à seize ans, boursouflant le cœur du jury par une diabolique virtuosité. « Née pour la musique », elle entra également dans la classe d’un célèbre compositeur à treize ans et en ressortit parmi ses élèves les plus éblouissants. Il va sans dire que tout ce cheminement développa ses âcres acuités auditives, mémorielles, digitales, sa perception humaine et sociale ainsi que ses grandes facultés littéraires.

Durant l’été de ses huit ans, Dolly séjourna chez sa grand-tante à Vérone qui lui inculqua la danse classique. Légèreté, grâce, endurance et détermination s’en découlèrent. Ses études au Royal Academy of Dancing de Londres après son Diplôme de Soliste furent interceptées par le grand drame qui allait l’abattre une année plus tard.

Drucilla (rappelons ce vrai nom qu’elle n’a pas l’habitude de saisir, élisant plutôt Dolly et le très scherzando « Miss Salz »), profonde et mystérieuse bien que vraisemblablement emphatique dans son contact avec les gens, exerce aussi le métier de comédienne (oui, encore, au milieu de tout cela…). Son rôle de prédilection : Manon Lescaut. Le rôle de son cœur : Marguerite de Faust. Le rôle de son âme : Juliette de Shakespeare.

CHRONOLOGIE

Voici des extraits du document de motivation que Drucilla rédigea sous forme de mémoires lors de sa postulation à l’Aâpfull School :

« Je m’appelle Dolly Salz, née Drucilla Madeleine Elvira Yong-Anh Salz en 1994 un jour de pluie et de feuilles mortes dans une petite bourgade utopique au centre de l’Europe géographique. Je suis pianiste, compositrice, danseuse classique et comédienne. Voici une brève étymologie de mes noms : Drucilla, de mon américaine grand-mère paternelle ; Madeleine, de ma grand-mère maternelle, une hongkongaise expatriée en France dans les années 1940 ; Elvira, mon arrière-grand-mère française très nomade ; et Yong-Anh en souvenir de mon grand-père chinois (un homonyme comme on en retrouve partout dans cette langue exotique) ; sans oublier mon grand-père helvétique. 50% de Dragon huppé, 25% de Vieux continent aristo et 25% de Nouveau Monde. »

« Ma mère était agent immobilier et rédactrice en cheffe d’un prestigieux magazine de finance. Elle était belle, complètement chinoise, née à Paris, avait connu son mari par un contact professionnel et accouché de moi à 35 ans. Mon père, de trois ans son aîné, résultait d’un tout autre cercle élitique : après des études de linguistique française, anglaise et germanique, il devint metteur en scène et dramaturge sollicité aux États-Unis, parcourait le monde « people » et s’engageait dans la politique. Je n’eus pas de congénère. »

« Mes parents m’avaient plutôt recelée dans mon enfance. Il n’y eut nul défaut à cela car, ayant essayé de m’adapter dans une classe de première primaire en école publique (mes riches parents n’étaient pas fastueux), on me qualifia en fin d’année d’« enfant introvertie, très associable et d’humeur noire » sans nier que « Drucilla possède un QI vastement supérieur à la norme (152) et apprend assez vite pour assimiler le programme de deux ans en un seul ». Ainsi, je quittai pour toujours la monstrueuse vie sociale de l’école obligatoire et poursuivis mon assimilation de connaissances générales sous l’égide de deux précepteurs. […] »

« Il y eut trois lumières dans ma vie. »

« La première fut le piano. La musique classique bourdonnait dans mon sein depuis mon époque embryonnaire. Mon père, furieux de Beethoven et épris de Ravel, voulait de moi une carrière d’interprète. Il jouait lui-même de l’orgue et m’enseigna les premiers doigtés. […] »

« Seconde : la danse, cette dimension si universelle émanant du travail et de la sculpture du corps humain qui m’extasia et m’imprégna dès le jour d’été où ma grand-tante, dans sa villa à Vérone, m’introduisit aux exercices à la barre. J’avais huit ans, un corps notablement souple et rêvai de danser le Cygne Noir. Ce fut dans ce rôle que je fus brillamment admise au Royal Academy of Dancing de Londres, huit ans plus tard. »

« L’ultime de ces lumières, fatale, mon âme réduite en débris, ma Lux aeterna, ce fut Franz. Franz, mon Frère, mon Amant, mon Guide, un garçon de sept ans mon aîné, peintre, Docteur en Philosophie, détenteur de cette chose funeste que l’on appelle Aâpfull et qui lui permettait de créer des illusions. Orphelin à dix ans, il avait suivi quatre ans de cours à l’Aâpfull School. Je le connus à quinze ans lors d’une collaboration entre leur Université et notre Conservatoire où nous produisions la Fantaisie Chorale de Beethoven, moi au piano, lui dans le chœur. Nous tombâmes irrémédiablement amoureux l’un de l’autre dès notre première discussion à la fin de la générale et eûmes notre première relation sexuelle dans ma loge le soir même après le concert. Tout cela peut paraître faunesque et ridicule, mais voyez-vous, Franz fut partie intégrante de mon menu corps dès l’instant où il formula de ses lèvres viriles : « Je t’ai enfin trouvée ! » entre deux baisers […] »

« Il charma mes parents qui ne nous privèrent pas de rencontres. […] Ce n’était pas un de ces étudiants à lunettes d’intello infatué. Il était d’un humanisme émouvant et simulait au mieux une certaine crédulité de jeune homme profane. […] »

« Franz devint bientôt mon pilier. Nous ne pouvions vivre un jour sans se voir ou s’adonner à des discussions éthiques, artistiques ou tout simplement cinglées. Le jour de mon anniversaire de dix-sept ans, dans la cabane en ardoise qu’il avait confectionnée pour moi sur un petit monticule désert près du lac d’Annecy (sans activer son don d’illusion), il me demanda en mariage, et j’acceptai. »

« Quelques semaines plus tard, par un radieux vendredi de vacances, Je rentrai de Londres et nous prenions la route à quatre pour un week-end dans les Alpes. Mon père conduisait, ma mère le côtoyait devant et je conversais librement avec mon Franz sur la banquette arrière. En toute inconscience nous remarquâmes le ciel s’obscurcir et, l’instant d’après, comme par quelque coup de farce de Méphisto, un orage colossal s’écrasa sur le toit de notre break qui faufilait à travers les minces artères grimpantes d’une cime valaisanne. Mon papa perdit le contrôle de son frein dans un raide virage et, tranchant le déluge, notre voiture fonça dans la nuit et s’écrasa, tête en enfer, vingt mètre plus bas, au milieu de monstrueux pins Sylvestre. »

« Mes parents ne résistèrent pas au choc. Ma mère expira en premiers soins dans l’hélicoptère. Mon père eut le crâne entièrement défoncé par un rocher. Franz fut fracturé à la colonne vertébrale et plongé dans le coma par je ne sais quelle collision entre mon lourd pendentif en or rose (qui renfermait notre photo de fiançailles) et sa tête de prince. Interné dans une clinique lausannoise, il demeura inerte neuf mois jusqu’à ce qu’un jour, fabuleusement (sans doute par quelque activation de son superpouvoir), je restai plantée au chevet de son lit vacant, horrifiée, contemplant la fenêtre de sa chambre d’infirme défoncée par une fuite inhumaine et spectaculaire. Il me laissait seule au monde, sa veuve orpheline. Mais moi, forte dans mon art, poussant ma foi vers les confins de l’atmosphère, je tenterai toujours de le retrouver, je le retrouverai !... Pourquoi, pourquoi, mon Dieu, s’est-il éclipsé sans m’embrasser ? »

« […] Comme vous le devinez, détenteurs d’Aâpfull, mon « pouvoir éternel » se manifesta le jour du terrible accident. On m’avait extraite lucide de mon trou d’auto, sans égratignure ni même hématome, comme dans un rêve. C’est alors que, debout à l’écart du groupe désordonné, je fus littéralement projetée dans un autre monde, une vision fantastique, croyais-je de premier abord. Le noir du déluge s’était concentré et transmuté en un monumental bloc de pierre rustre, fendant devant moi un bain de soleil acerbe. Les pins avaient disparu. Les secouristes progressaient toujours dans leur corvée et ne semblaient plus me voir. Brutalement, je me retrouvai « dans la tête » du pilote principal de l’hélicoptère et me voyais, moi, mon corps, à travers le pare-brise, debout, secouée, les yeux maladivement ouverts. Je sentais les deux corps à la fois et « voyais » tout l’efflux de la pensée, des sentiments et de l’être du Monsieur que je possédais. Il s’appelait Marc Lugnon, quarante-deux ans, père de quatre enfants. Sa femme est infirmière au CHUV. Il attendait qu’on montât ma mère pour décoller. Il avait pitié. Je pouvais induire mes pensées dans son esprit et les lui faire exprimer comme siennes, et je le fis pleurer. Il fut encore un « sous-Dolly » lorsque je le libérai nonchalamment. Le sous-pilote distrait entra dans la cabine et l’entend dire : « Merde, ce soleil qui me brûle le crâne ! »

« Je revins dans mon corps. J’étais différente. Je me manipulai comme une sorcière (ou une super-héroïne, selon le goût). Je compris que je pouvais me soustraire de la conscience de tous ces individus qui m’entouraient. Invisible, intouchable comme l’oxygène et inaudible. J’eus l’instinct de sauter. Je me transformai en écureuil, un vrai écureuil. (Ne riez pas.) Je grimpai au seul arbre qui subsistait près des lambeaux de mon amour et m’immobilisai sur une branche. Je vis les restes de mon père, ma mère morte, mon homme blafard. Puis je sautai à nouveau et pris la forme d’un oiseau (j’en ignore l’espèce) et suivis l’hélicoptère jusqu’aux urgences. […] »


INFLUENCE DE L'AÂPFULL

Voici d’autres extraits des mêmes mémoires décrivant les détails de l’Aâpfull de Dolly :

« Franz me disait souvent que je détenais, pour sûr, un Aâpfull puissant enfoui au fond de mes trippes, et que « le jour venu, tu verras, ce n’est pas drôle du tout… ». Son Aâpfull à lui ne faisait rien d’autre que de pomper son énergie, et il se débrouillait à tel point qu’il pouvait suspendre le temps pendant une illusion de trois ans puis attendre jusqu’au soir pour dormir huit petites heures (d’habitude, il ne s’assoupissait guère plus de trois heures). Comparé à moi… Mais laissons cela, bien sûr. »

« Il m’avait montré tous les recoins de sa psychologie en phase d’action et me fit une sorte d’initiation au monde des superpouvoirs du temps où j’étais mortelle. »

« Ce fut donc sans extrême difficulté que je parvins à contrôler mon Aâpfull jusqu’aux recoins de ses plus sombres subtilités, m’entraînant, me torturant, m’essayant, seule et invisible, au sommet du Mont Everest. Comment je m’y suis rendue ? En activant mon pouvoir de « transplanation » pour emprunter le terme très exact de Lady Rowling. Sauf que dans mon cas, je n’ai pas besoin de baguette magique. »

« L’élément constitutif de mon Aâpfull consiste à ce que j’ai finalement conclu comme étant la dénaturation physiologique passive (action sur moi) et environnementale active (action sur les autres). Voici quelques images fades et sans style pour vous repérer : »

« Le lendemain du drame, je tentai un premier suicide. Je m'enfonçai dans le lac noir, me gorgeai d’eau, puis d’un trait, me noyai dans cette masse obscure en respirant énergiquement par le nez. Ce ne fut non pas du liquide poissonneux qui entra dans mon flux nasal, mais une immense bouffée d’oxygène brûlante qui me transperça de la tête aux orteils. Désastreux : je m’étais involontairement transformée en poisson, apparemment une perche. Je m’enfonçai dans des eaux plus profondes et, à un niveau que je jugeai impossible à survivre pour une humaine, je fis un colossal et vain effort mental pour revenir dans mon corps initial. Plus je voulus mourir, plus ce souffle torride me pénétrait, et c’est dans une fournaise insoutenable pour ma conscience d'ado défaillante que je fus transplanée sur la rive par mon Aâpfull, avec mon jean et ma chemise blanche propres et secs. »

« J’essayai alors de me couper les veines, et compris tôt que mon ignoble Aâpfull m’interdit de crever. Tout geste d’autolyse que je tentai mentalement par la suite fut irrévocablement repoussé par l’ardeur de mon pouvoir. « Prends le couteau et tranche le poignet gauche ! » ordonnai-je à ma main droite ; elle prit le couteau et le planta dans le tronc du peuplier. »

« Voici ce que je décelai sur l'Himalaya : »

« Je suis immortelle. Mon Aâpfull agit de soi lorsque je me trouve en péril. Cependant, en état d’inconscience, je risque d’être banalement tuée ou blessée en perdant toutes mes capacités surhumaines. »

« Je peux disparaître et réapparaître en tout lieu et en tout temps sur, autour ou dans le globe terrestre, sous la forme de toute espèce vivante existante sur Terre capable de porter une conscience. Selon la situation, c’est souvent mon Aâpfull qui s’empare de mon corps et le transforme adéquatement ; dans ce cas, je ne peux pas m’y opposer. »

« J’apparais également dans l’enveloppe humaine de mon choix en toute circonstance - être un clone, une simulation, ou tout simplement projeter l’image de l’individu quelconque que je porte en tête, sinon rien (invisibilité ; je reprends mon corps initial et demeure vulnérable). »

« Ces éléments-là me permettent essentiellement de fuir et de demeurer passablement invulnérable lors d'attaques (mais ô, grand Ciel ! À quoi ne préférerais-je pas le bonheur d’une simple mortelle ?). »

« En « combat » (j’abhorre ce terme ainsi que mes hideux pouvoirs), mon principal champs d’action se situe au niveau du contrôle mental. Je peux simultanément manier mon propre esprit et ceux de sept mortels, et m'introduire dans l'esprit d'un Aâpfullé pendant douze secondes pour dénaturer ses perceptions visuelles, climatiques et auditives. »

« Au cours de ce contrôle mental que je nomme « soumission », j’ai un accès total aux pensées, aux sentiments et à l’identité de mes sujets mortels. Ces derniers sont inconscients de ma possession et maniables par ma guise. Je peux leur imposer des mœurs qui se traduisent instantanément par les actions physiques voulues. Je peux également les entourer d’un environnement faussé ; il ne s’agit pas exclusivement d’illusions, mais d'une altération de l’aspect, la température et le son des éléments présents (exemple : « au clair de lune, sous un saule pleureur, au bord du lac avec ses potes Julie, Karen et Marc » devient « au soleil, sous une fumée noire, dans le désert avec Jessy J, Kate Moss et François Mitterrand »). »

« Si mon sujet est Aâpfullé, je m'astreins à la dénaturation environnementale et durant la limite temporelle de douze secondes en cours de combat (si le type veut juste s'enchanter dans un autre monde sans être mon adversaire, cette restriction est levée). »

« Mon Aâpfull est évidemment de type éternité. Toutefois, quelques secondes après chaque utilisation « combattante » de mes facultés surnaturelles, je suis saisie par un terrassant mal de cœur qui peut s’étendre jusqu’à me frapper d’apoplexie. En principe, j’ai toujours le temps de transplaner dans un refuge hors de tout danger avant de délecter cette exquise douleur. »

« Dans ce monde bourré de fades personnes normales et sans fatuité, j’eus guère la chance de « combattre » avec des Aâpfullés. Ou non, « combattre » n’est décidément pas le bon terme… Disons plutôt « bosser » comme en parlant d’art, bosser avec des Aâpfullés. C’est dans cette quête de semblables qu’à présent, toujours danseuse, éternellement musicienne, je retourne dans ce Royaume-Uni décrépit, sans en-tête régalienne, à la recherche d'un partage artistique propre à me rendre moins inutile. »


Prénom : Typiquement français
Âge : 18 ans
Comment as-tu connu le forum ? Par Amadeus/Arquin Leyenberg.
Pourquoi t’es-tu inscrit(e) ? Cure d’hypocondrie.
Commentaire ? Mot ? Idée ? J’adore votre travail d’imagination !
As-tu lu le règlement ? Oui.
Le code du règlement : -



Dernière édition par Dolly Salz le Ven 9 Nov - 23:31, édité 8 fois
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Dolly SalzDolly SalzMessages : 17
Date d'inscription : 05/11/2012
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MessageSujet: Re: Dolly Salz   Dolly Salz EmptyVen 9 Nov - 12:51

J'ai re-réfléchi: "Aâpfull de la métaphysique" ne veut rien dire... Je prends donc l'Aâpfull de la DÉNATURATION. Je trouve ça plus logique...

Ensuite, j'ai fait lire mon texte à mon parrain Amadeus, qui m'a énoncé plusieurs problèmes majeurs dans la description de mon Aâpfull. Je vais réécrire ceci en tenant compte qu'on ne peut pas décider des actions d'un autre personnage.

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Dolly SalzDolly SalzMessages : 17
Date d'inscription : 05/11/2012
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MessageSujet: Re: Dolly Salz   Dolly Salz EmptyVen 9 Nov - 16:48

Voilà, Description de l'Aâpfull réécrite! Qu'en pensez-vous?
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Marcus Von DünnerMarcus Von DünnerMessages : 80
Date d'inscription : 26/06/2011
Age : 31
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MessageSujet: Re: Dolly Salz   Dolly Salz EmptySam 10 Nov - 8:39

Alors, Bienvenu ! Je trouve que ta fiche est vraiment irréprochable. (pour ta fiche nous allons peut être juste nous charger d’éditer pour mettre la mise en page). Pour le code à la fin, c'est celui du règlement. en gros c'est pour savoir si tu la lu ou pas, mais on sait très bien que tu l'as lu ne t'en fait pas. Donc il faut juste que tu cherches les petites parti qui forment le code le règlement et voilà tu le notes.
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Dolly SalzDolly SalzMessages : 17
Date d'inscription : 05/11/2012
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MessageSujet: Re: Dolly Salz   Dolly Salz EmptySam 10 Nov - 11:12

J'ai déjà envoyé le code en MP à Sora Rodriguez! Mais je le refais à toi alors, parce que je trouve ça un peu bête de le poster intégralement dans un message public... Smile
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Dolly SalzDolly SalzMessages : 17
Date d'inscription : 05/11/2012
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MessageSujet: Re: Dolly Salz   Dolly Salz EmptySam 10 Nov - 11:33

Vu que ma fiche est "irréprochable", puis-je commencer à écrire des RP? silent
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Marcus Von DünnerMarcus Von DünnerMessages : 80
Date d'inscription : 26/06/2011
Age : 31
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MessageSujet: Re: Dolly Salz   Dolly Salz EmptySam 10 Nov - 12:06

Alors tu devrais avoir la validation d'un autre Admin, mais tu devras juste montrer ça à Arquin et tu pourras jouer après sa validation et je me chargerai de faire ta mise en page au plus vite, ça pourrait prendre jusqu'à demain à cause de mon temps.
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Arquin LeyenbergArquin LeyenbergMessages : 204
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Age : 29
Localisation : On s'en balance!
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MessageSujet: Re: Dolly Salz   Dolly Salz EmptySam 10 Nov - 12:13

Deuxième validation. Next.
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Sora RodriguezSora RodriguezActrice Excentrique ~Messages : 413
Date d'inscription : 26/06/2011
Age : 35
Localisation : Viens par ici, tu le sauras si tu me suis ~
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MessageSujet: Re: Dolly Salz   Dolly Salz EmptySam 10 Nov - 12:39

    Je verrouille. Nous éditerons la mise en page.
    N'oublie pas de demander ton groupe! Bienvenue à Aâpfull ~
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Dolly Salz

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