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Sora Rodriguez
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Sora Rodriguez
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26/06/2011
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Viens par ici, tu le sauras si tu me suis ~
Sujet: Sora Rodriguez
Sam 2 Juil - 18:09
Bienvenue à Aâpfull...
.
Sora RODRIGUEZ
▶
Nom :
Rodriguez
▶
Prénom :
Sora
▶
Surnom :
Archange
▶
Âge :
22-23 ans
▶
Métier :
Actrice
▶
Sexe :
Femme
▶
Orientation sexuelle :
Bisexuelle
▶
Origine(s) :
Portugaise-Japonaise
▶
Aâpfull :
Invocation d'Anges de Combat
▶
Signe du Zodiaque :
Scorpion
▶
Statut RPG :
Infidèle...
Anatomie
.
« Bonjour, mademoiselle... Mettez-vous debout, là, et étendez vos bras perpendiculairement à votre corps, je vais prendre vos mesures pour votre nouvelle robe. »
Sora obtempéra, ôtant ses talons hauts couleur cerise de ses petits pieds recouverts d'un collant noir. Elle fit quelques pas en direction de la petite estrade vers laquelle la dame l'indiquait de se poster, avant de s'interrompre pour interroger cette dernière :
- Ne devrais-je pas compléter d'abord un formulaire, Madame Stitch ? Il serait peu convenable si ma robe ne parvenait pas à destination...
- Oui, en effet, mademoiselle. Tenez, la voici. Voulez-vous un stylo ?
- Ce ne sera pas nécéssaire, merci Madame Stitch. Je m'asseyerais à votre bureau, si cela ne vous dérange pas.
Sora se posa délicatement sur la chaise en velours devant la table en verre, et sortit un stylo qui lui avait été personnellement stylisé. Regardant la fiche, elle remplit les espaces de son écriture élégante et fluide. Ce n'étaient pas des questions bien difficiles, mais elle hésita au moment de remplir celui qui lui demandait son poids. Voulait-elle vraiment que les autres sachent qu'elle faisait 65 kilos ? Non, pas tout à fait... Mais il lui était capitalement nécéssaire de répondre à la question indiscrète, sous peine de recevoir une robe pauvrement adaptée à sa corpulence.
Lorsque Sora en eût terminé avec le formulaire, elle se leva et arrangea sa jupe marquée d'une petite froissure. Sora lissa le tissu, faisant disparaître la marque sous ses doigts agiles, avant de se déplacer grâcieusement vers l'estrade. Madame Stitch prit ses mesures, et décrit son apparence sur une feuille de papier parfumée ;
Sora Rodriguez - Femme, 22 ans.
Cheveux de jais, assez de longueur pour couler jusqu'à la taille, très épais formant des ondulations. Souvent attachés en chignon négligé, ou impeccablement coiffés et relâchés.
- Excusez, Madame Stitch, combien de temps devrais-je attendre encore ? questionna Sora, s'admirant dans un miroir au fond de la pièce. Ses cheveux féériques retombaient sur sa poitrine généreuse, mise en valeur par un décolleté des moins discrets. Des reflets roux mettaient en valeur la douceur et la sensation de soie de la magnifique crinière couleur aile de corbeau de Sora. Celle-ci se shampooinait les cheveux régulièrement avec un produit spécialement créé pour elle, par la plus grande marque de soin du corps. Elle était bien fière de ses cheveux flatteurs, malgré une petite mèche rebelle qui venait cacher son oeil de droite.
Yeux couleur émeraude brut, cils noirs immesurablement épais, mettant en valeur les pommettes hautes, recouverts d'une fine couche de maquillage rose pâle. Sourcils fins et bien dessinés, remontant en circonflexe à l'approche de la tempe.
Sora battit des cils, sa patience diminuant lentement mais progressivement. Ses deux émeraudes oculaires reflétaient le paysage qu'offrait la fenêtre. À chaque battement des cils, ceux-ci démontraient à quel point ils étaient longs et épais, de la même couleur que ses cheveux. Ils donnaient un regard envoûtant et mystérieux à la jeune femme, qui en était parfaitement consciente. Elle ne se mettait jamais du mascara, sous peine de donner un effet "jambes d'araignée", ce qui ne lui était pas très flatteur. Sora haussa des sourcils en voyant Madame Stitch commencer à glousser.
Ses sourcils, identiques en couleur de la chevelure de Sora et de ses cils, formèrent une arque magnifique et fine, légèrement angulaire quand le relief du visage se modifia de la face au côté. Lorsque Sora effectua ce mouvement, ses yeux se plissèrent légèrement, louant l'impression que les pommettes étaient plus hautes. Cette impression fut renforcée par la forme d'amande des yeux de la jeune actrice, dû à son sang japonais, provenant du côté de sa mère. Ces yeux en amande étaient la curiosité de beaucoup de personnes, mais peu importe l'origine de leur apparence ; tout ce qui comptait, c'était qu'ils soient magnifiques 24H/24H. Forcément, c'en fut toujours le cas avec Sora.
Poitrine ronde, toujours à mettre en valeur. Taille de guêpe, hanches larges mais proportionnées. Jambes élancées, souples, lisses. Genoux fins, sans pli de graisse. Pieds de taille modeste, très fins et longs.
La demoiselle se pencha en avant pour mieux observer son cou - blanc, propre, élégant -, laissant apercevoir son décolleté généreux. Un collier reposait entre ses seins rondelets, invitant les hommes à y glisser leur regard, les invitant peut-être même à y faufiler un ou deux doigts. Mais il n'y a pas que la poitrine généreuse de Sora qui invite les caresses ; sa taille de guêpe encourage les autres à y poser leur main, jusqu'à la glisser pour prendre les fesses fermes de Sora entre leur doigts, jusqu'à descendre chatouiller ses cuisses et attraper ses jambes douces au creu du genou.
Les jambes interminables de mannequin de Sora, adoucis grâce à une crème préparée par la même marque qui a créé son shampooing, épilées au laser de façon à ce qu'aucun poil n'y réaparaisse jusqu'à sa mort, ne sont pas que là pour décoration. Souvent sous-estimées, Sora travaille beaucoup les muscles des cuisses et des mollets pour en obtenir une souplesse irréprochable et une puissance hors de la norme pour une femme de son âge. Evidemment, le seul muscle qui se voit est celui du mollet, formant une courbe élégante de l'arrière du genou à la cheville. Plus d'une personne ont été surpris par la force dont Sora est équipée, et certains l'ont découvert douloureusement.
Les petits pieds fins de Sora semblent avoir été créés exprès pour les chaussures de marque Italienne. Elle peut se glisser dans n'importe quelle chaussure de ce genre, quel qu'en soit le type ; talons hauts, ballerines, baskets, cela ne lui fais ni chaud ni froid. Il n'y a que les chaussures "étrangères" qui lui posent problème ; les converses, carel, tout ça, il n'y a absolument aucune paire qui existe que Sora a la capacité de porter sans ressentir le moindre confort. D'autant plus, dans les films dans lequel Sora y apparaît, il lui arrive souvent d'être contrainte à en porter de ce genre ; c'est pour ça qu'elle s'est fait faire des paires de chaussures non-Italiennes formées exprès pour son pied.
Epaules fines mais bien carrées, bras longs et musclés, mains aux doigts de pianiste dotés d'ongles régulièrement manucurés.
Sora passa ses doigts élégants, équipés de plusieurs bagues de tailles variantes et de couleurs flashys, sur son cou de "cygne". La demoiselle étudia ses ongles un instant, vérifiant s'il n'y avait aucune saleté néfaste amochissant sa manucure ou s'ils étaient abîmés. Comme toujours, la manucure au coût astronomique de Sora était impeccable et dépassait la perfection.
L'actrice se dirigea calmement vers une commode sur laquelle était posée une petite boîte en bois d'acajou. Sora, ne s'attendant pas au poids de la boîte, dut utiliser plus de force que prévu ; ses muscles renforcés ressortirent sous sa peau diaphane, mais elle parvint à lever le couvercle de la boîte, qui se révéla être remplie de bijoux divers. Ceux-ci étaient étiquetés par des noms de personnages inconnus par Sora - sûrement des bijoux destinés à accompagner une tenue quelconque. Elle referma la boîte d'un claquement sec, avant de se diriger vers Madame Stitch.
Peau diaphane, nez discret et droit, bouche bien dessinée aux lèvres pulpeuses et rouges. Voix forte, cristalline et harmonieuse, sans aucun défaut de ton.
- Excusez-moi, Madame Stitch, mais je commence à perdre patience. Est-ce que ma présence demeure nécéssaire, ou puis-je partir ? ... Madame Stitch, êtes vous sourde ? Je vous ai posé une question !
Le nez mignon de Sora se plissa sous l'agacement. Ses lèvres se pincèrent, lui rendant un air contrarié, qui aurait charmé plus d'un. Visiblement, elle sa patience était à bout. Elle fit un pas dans l'espace personnel de Madame Stitch, et profita de son 1m80 pour dominer le misérable 1m54 de la petite dame. Le soleil se refléta dans les cheveux ténébreux de Sora et sur sa peau diaphane, lui donnant l'air un ange déchu.
Ce qui aurait été le cas, vu son Aâpfull.
Sora plissa des yeux et regarda Madame Stitch dans le blanc de l'oeil avant de répéter sa question d'une voix bien plus menaçante que précédament. Madame Stitch sembla se réveiller face à Sora, et baissa le regard avant de s'excuser. Un sourire cruel fendit le visage de l'actrice, qui croisa les bras et prévint Madame Stitch que si celle-ci persévérait à se comporter comme tel, elle allait perdre une très bonne cliente. Sora sortit ensuite de la pièce, laissant Madame Stitch à ses affaires.
« Non monsieur, je vous ai spécifiquement indiqué que je cherchais à obtenir une robe, et non un pantalon. Pourtant, vous savez très bien que je ne porte que des robes ! Mon dieu, vous avez perdu la mémoire ou quoi ? Franchement... »
Les talons de Sora claquèrent sur le sol en guise de signe d'impatience. Il semblerait que Mr. Parkinson eut oublié que sa meilleure cliente, Sora Rodriguez, ne portait que des robes. Il la mena donc au rayon robes, qui ne satisfait pas Sora. Moches, mauvaise taille, mauvaise marque, mauvaise étoffe, ... Tout y était. Elle lui ordonna de l'amener dans son rayon favori, et il obtempéra sans protester, malgré le fait que le rayon en question était habituellement interdit au public.
C'en fut qu'à partir de ce moment que Sora trouva sa joie. Elle acheta sept robes aussi élégantes les unes que les autres, certaines qui étaient idéales pour se trouver un compagnon d'une nuit pendant une fête. Elle les enfila toutes, chacune lui allant à la perfection. Mr. Parkinson était bien heureux que Sora soit aussi "pinta", ce défaut lui apportant une somme astronomique d'argent...
En effet, Sora ne porte que des robes, privilégiant celles au décolleté avantageux. Vous ne la verrez jamais sans robe, à l'exception peut-être dans les films - et encore, elle ne prend que les films où elle est sûre d'avoir un personnage qui ne porte que des robes...
~°~°~
Une description brève pour Métatron
~°~°~
Métatron, étant un Archange, est blond. Ses cheveux, doux et étonnament fins, ont une longueur considérable... Disons qu'ils arrivent jusqu'aux fesses. Métatron a les yeux qui hésitent entre le bleu-gris et le vert-turquoise, faisant un mélange très clair et rien qu'un peu inhumain. L'Archange est grand, 1m93, et est doté d'une grande musculature qu'il n'hésite pas à utiliser. Son torse est bien dessiné, ainsi que ses abdominaux... ou "plaques de chocolat", pour ceux qui ne savent pas ce que c'est.
Métatron ne porte que du blanc, ce qui renforce son air de fantôme. Ce n'est pas une personne intimidante, jusqu'au moment où quelqu'un s'en prend à Sora. Là, il encadrera la jeune femme de manière protectrice, profitant du fait qu'il ne porte que des manches courtes pour éxhiber ses muscles de bodybuilder.
Psychologie
.
"Pinta" serait le maître mot pour décrire Sora. Pour les incultes, "pinta" signifie pimbêche en français, bitch en anglais.
« Allez, poulette... Je suis sûr que tu veux le faire avec moi. Y'a un hôtel pas loin, tu sais... »
Sora était assise à cheval sur le ventre d'un homme dont on ne pouvait nier la beauté. Ses mains caressaient son torse musclé, et il avait pris Sora par les hanches, de manière à lui forcer de prendre une position des plus... excitantes. La nuit tombait, et les amis du bel inconnu attendaient avec impatience la suite des évènements... Un membre de ce groupe de dragueurs lança une remarque qui fit sourire ironiquement la jeune actrice. Un plan à trois ? Bien, pourquoi pas... Par contre, il était hors de question qu'elle se déshabille dans ce lieu publique des moins discrets.
Non, elle n'allait pas faire ça, ce soir. Sora se pencha doucement sur le torse de sa victime, lui laissant la douce illusion qu'elle était d'accord de le faire... Sa poitrine s'écrasa contre son torse, ses mains atteignirent l'entrejambe... Et un cri de douleur intense s'éleva dans l'air frais de la nuit. Ne jamais, jamais prendre Sora pour une pute. Pinta et pute son deux mots très différents.
Enfin, passons aux choses sérieuses. Sora étant bisexuelle, elle est capable d'apprécier autant les courbes féminines d'une demoiselle (vierge de préférence, les réactions sont plus intéressantes) que la force d'un homme (expert au lit, si possible). Vous verrez Sora avec tout le monde, tant qu'ils ont une beauté qui s'approcherait du quasi-inhumain. Tous ces pouilleux qui se croient si malins dans leurs baskets que vous verrez errer sans but dans les ruelles de la ville, Sora ne leur parlera jamais, à moins de vouloir être une véritable langue de vipère.
En parlant de langue de vipère, vous ne parviendrez jamais, jamais je vous dis, à clasher Sora. Professionnelle en moqueries, en vannes, et tout ce que vous pouvez imaginer, Sora peut être franchement méchante. Les garçons quand ils se battent, c'est des coups de poing et des insultes... Ils n'arrivent même pas à la cheville des affrontements féminins. Et malheureusement pour celles-ci, Sora est à la tête des salopes de service.
Fashionista, c'est le cas de le dire. Toujours à la mode dans le rayon robes, Sora en possède une quantité énorme, et elle lance aussi de nouvelles modes. Aucune robe n'est identique, et avant d'assister à une fête elle téléphone bien à tout le monde pour vérifier qu'elle n'ait pas à porter une tenue identique à celle d'une autre femme.
Infidèle et joueuse de coeurs correspond tout à fait à l'actrice. Sora prend un grand plaisir à s'amuser d'aller vers d'autres personnes, tout ça pour rendre jaloux Métatron. Dès qu'elle se décroche une belle affaire avec une personne, elle fait tout pour rendre cette personne malheureuse mais à la fois lui donner la meilleure expérience de sa vie... Métatron, qui est très possessif, fait de la concurrence avec les coups-de-coeur de Sora. Celle-ci aime Métatron (les témoins des soirées peuvent en dire long), mais parfois sa possessivité l'éxaspère.
Souvent, vous rencontrerez des personnes qui seront méchants ou gentils, mais au fond ils sont tout le contraire. Pour Sora, ce n'est pas le cas. Pinta jusqu'au bout, il n'y a pas une once de compassion chez elle. Tout ce qui s'affiche est sois de l'illusion, sois du mépris, de la cruauté ou du foutage de gueule. En tout cas, vous ne trouverez rien de gentil chez Sora.
Cette femme reste néamoins une personne très jalouse. Elle veut tout et rien, tant qu'elle a le meilleur. Si quelqu'un d'autre à la même chose qu'elle, ou que ce soit meilleur, elle se battra pour obtenir une version supérieure de l'objet sujet de sa jalousie. Il lui est arrivé de voler des amis à ses "copines" ou "copains" (plutôt des pions ou des suiveurs), même souvent d'avoir une relation avec ces personnes, pour bien prouver qu'elle a tout. Sora perd un(e) ami(e), mais en regagne dix - littéralement.
N'ayant aucun respect pour ceux classés plus bas qu'elle, Sora fera tout pour leur pourrir la vie. Le seul respect qu'elle porte à quiconque, c'est à ceux plus hauts gradés que la jeune actrice ; si un jour, elle visitera la reine d'Angleterre (l'espoir fait vivre), elle restera parfaitement polie et sous contrôle. Mais rien de l'empêchera d'être langue de vipère avec ceux plus bas, même si la Reine est dans la même pièce... Vous voyez ce que je veux dire ?
Je le répète encore et encore : Sora est une pinta, et le seras pour toujours.
~°~°~
Courte description de Métatron
~°~°~
Si on devait décrire Métatron en un mot, ce serait possessif.
Il ne supporte pas les autres amants et flirts de sa maîtresse, mais lui reste entièrement soumise. Dès qu'un danger approche, il fera son macho et demandera à Sora de le laisser faire, malgré le fait qu'elle sache parfaitement bien se défendre.
Tel un esclave, Métatron obéit à sa maîtresse jusqu'au dernier mot. Si elle veut faire des pirouettes avec lui, il le fera - avec grand plaisir. Si elle veut en faire avec quelqu'un d'autre, Métatron attendra patiemment le retour de sa dame, se retenant de pulvériser le chanceux (ou la chanceuse) qui lui a piqué sa place.
Métatron, plus mou que sa maîtresse, ne se fera pas corrompre mais peut être convaincu. Lui ressent de la compassion pour Sora, et à chaque fois qu'elle lui tourne le dos, qu'elle l'insulte, même qu'elle le frappe, il ressent de la douleur et fait tout pour se faire pardonner. Aveuglé par l'amour, il ne voit pas que Sora le manipule et prend plaisir à le voir à genoux devant elle, lui suppliant d'accepter ses excuses. Juste pour voir cette scène encore et encore, l'actrice blessera l'Archange le plus possible pour avoir une sensation de dominer.
Chronologie
.
Mère japonaise, père portuguais. Mika et Roberto. Ils avaient dix-neuf ans à la naissance de la petite Sora. Celle-ci n'était, en réalité, pas désirée de ses parents : le nouveau-né était le fruit d'un préservatif déchiré, d'une erreur. Son géniteur ne tenait aucun boulot, ne daignait pas prendre la peine de poursuivre ses études pour devenir archéologue, et Mika avait élevée en tant que bonne petite femme au foyer japonaise. Elle n'était jamais allée dans une école "normale" : ses parents l'avaient mis dans un environnement où les demoiselles apprennaient comment être mère, et où les jeunes monsieurs devenaient des génies dans les branches politiques, scientifiques, et économiques. C'était assez sexiste, oui, mais dans certaines écoles au Japon, c'est comme ça. Il en va de même pour la Chine, d'ailleurs.
Revenons à nos moutons. Mika et Roberto avaient récolté assez d'argent pour occuper un minuscule studio dans la ville de Londres. En guise de célébration de leur déménagement, ils décidèrent de faire quelques galipettes sur le canapé fraîchement déballé de son sac en plastique, mais tout vira au drame lorsqu'ils découvrirent à la fin de leur petite partie de plaisir que le préservatif était troué. Quelques jours plus tard, Mika tomba enceinte d'une petite fille mi japonaise, mi portugaise.
Neuf mois plus tard, "l'heureux évènement" se produit. Mika mit au monde une jolie petite fille, avec les yeux de son père mais l'apparence de sa mère. Le bébé ressemblait à une japonaise digne de ce nom, mais quelques détails faisaient clash avec ce mélange asiatique : Sora avait les yeux verts les plus perçants que ses parents avaient vu dans leur vie, et il y avait des reflets roux dans les cheveux sombres de la petite fille. En bref, Sora était le mélange parfait entre une japonaise traditionnelle et un portugais rouquin. Un mélange assez éxotique, il faut le dire, mais un mélange magnifique tout de même.
Le bébé grandit en toute normalité, sans manifester le moindre défaut de santé. Elle était impressionnante : Sora apprit à parler et à marcher très en avance, preuve que ce serait une fille brillante plus tard. Ses yeux émeraudes observaient tout, absorbaient tout, et reproduisaient tout à la perfection à l'intérieur de sa petite tête couverte de cheveux jais. Elle s'ennuya à l'école, trop intelligente et trop avancée pour le niveau qu'ils lui proposaient. C'est là que Sora apprit la notion de "méchanceté".
Déjà la première année scolaire, Sora posa des problèmes. Être intelligente ne veut pas forcément dire être gentille, bien au contraire. Certains génies sont réputés non seulement pour leur Q.I. surdéveloppé, mais aussi pour leur langue de vipère incomparable. Sora faisait partie de ces génies-ci. Elle regroupait sa petite bande de suiveuses et humiliaient les autres sans aucune scrupule. Au contraire, la petite paraissait y prendre plaisir...
À douze ans, par contre, un événement des plus inattendus changea le cours de la vie de Sora. Elle fut battue, non par ses parents, ni par ses amis ou ses ennemis d'école, mais par un parfait inconnu aux cheveux blonds. Il devait avoir dans la vingtaine, mais ses yeux prétendaient le contraire... Le jeune homme dégageait un air d'ancienneté, comme s'il ne devrait pas marcher sur le sol de la Terre, mais plutôt être mort et enterré sur une autre planète. Il n'était pas de ce monde. Il en fallut longtemps pour que Sora devine que ce jeune homme qui l'avait battu ce jour là était un Archange, et pire encore : un Aâpfull.
Sora était en train de traîner avec quelques "amis" après les cours quand l'Archange lui apparut. Il la prit par le bras, et balança le corps frêle de la jolie petite fille au sol. Ses amis s'enfuirent, la laissant seule face à cet inconnu étrange. Ce dernier lui brisa quelques os, notamment ses bras, ses doigts, et ses tibias. Il lui ouvrit l'arcade sourcilière, enfonça ses doigts dans les yeux de la gamine, lui arracha quelques dents et s'en alla.
Evidemment que le lendemain, la police avait averti la presse et était partie à la recherche de l'agresseur de Sora. Celle-ci fut empêchée d'aller à l'école à cause de ses blessures, pour cause qu'elle était obligée de faire un petit séjour à l'hôpital pendant que ses os se réparaient.
À l'hôpital, le monsieur réapparut à son chevet. Il lui susurra des mots doux qu'elle ne comprenait pas : pouvoir, Archange, magie, contrôle, maîtresse, ... Sora était confuse. Puis il lui posa la question fatale : "Acceptes-tu ?"
Elle lui dit oui, sans savoir de quoi il parlait.
Un halo lumineux encadra le corps brisé de la fillette, qui se répara tout de suite. Une dizaine d'anges apparut à ses côtés, vêtus d'une armure en or et argent, des ailes à leur dos et des épées accrochés à leur ceinture. Ils s'agenouillèrent, main droite sur le coeur, leur têtes blondes baissées. L'homme qui l'avait frappée lui sourit, et carressa le visage fin de Sora. Il déposa un doux baiser sur ses lèvres désormais intactes, et la prit dans ses bras. Tout devint blanc, et ils disparurent.
Plusieurs années plus tard, Sora refit surface dans le monde normal, plus déterminée que jamais. Elle avait l'argent et l'Aâpfull de son côté : elle était actrice relativement connue à Londres, elle connaissait toutes les célébrités du coin, et la vie l'avait endurcie. À ses côtés, le même homme qui l'avait battue il y a approximativement dix ans, se tenait debout la tête fière. Il n'avait pas changé.
Sora savait ce qu'elle voulait : tout. C'était aussi simple que ça. Et elle ne s'arrêtera à rien pour l'avoir, quelle que soit l'obstacle. Elle avait Métatron et les Archanges à ses côtés, alors comment obtenir "tout" n'était pas un problème pour elle.
Lorsqu'elle refit surface, ses parents étaient morts depuis quelques années. Cancer, lui avait-on dit. Ils fumaient trop et la mort à fini par les prendre dans ses draps sombres, pour ne plus jamais les redonner. Ces nouvelles laissèrent l'actrice de marbre : que ses parents soient morts ou pas lui faisait ni chaud ni froid, elle avait sa vie à elle et n'avait besoin de personne pour continuer.
Une dernière petite précision par rapport à Métatron : celui-ci n'a jamais été un être séparé de Sora. Il veillait toujours là l'intérieur d'elle, en attendant le bon moment pour provoquer la jeune demoiselle à réveiller son Aâpfull de façon à ce que Métatron puisse lui être d'une utilité quelconque.
Influence de l'Aâpfull
.
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Comme vous le savez, l'Aâpfull de Sora est celui d'invoquer des Archanges au combat. Mais avant de se lancer dans la description physique quand elle est sous l'influence de son Aâpfull, permettez-moi de vous expliquer en quoi cela consiste.
L'Aâpfull de Sora lui permet d'invoquer tous les Archanges qui lui sont connus (dont les côtés Lumineux de Satan et Lucifer, qui ne sont pas les mêmes), mais seulement en combat, et elle ne peut qu'en invoquer cinq à la fois. Mais grâce à la présence de Métatron, celui-ci peut en appeler d'autres, donnant ainsi la possibilité à Sora d'avoir plus de soldats au combat. Malheureusement, ces Archanges ne répondent qu'aux ordres de Métatron, car c'est lui qui les a convoqués.
L'Aâpfull de Sora en est un de type éternité. Elle a dû donner la vie de son cher ami Nugget, son chat roux à qui elle tenait beaucoup, ainsi que la vie de ses parents (mais elle l'ignore). En revanche, elle a gagné la douce compagnie de Métatron, la tête de tous les Archanges... Mais si Sora avait eu le choix, elle aurait préféré conserver la vie de son chat plutôt que les soirées pimentées avec son deuxième.
Métatron est en gros l'ange gardien de Sora, ainsi que son esclave. Quand sa maîtresse ne désire pas utiliser son Aâpfull, elle peut demander à Métatron d'invoquer un Archange de son choix. En retour, elle doit accomplir une demande de son second, tant que cela n'implique pas un suicide ou une "mort accidentelle" (qui, d'un certain point de vue, son identiques). Métatron ne peut pas tuer Sora volontairement, mais si cette dernière perd contrôle de son Aâpfull, lui et ses Archanges pourront se retourner contre elle et lui infliger des blessures mortelles qui pourraient ensuite entrainer sa mort.
Voilà tout ce qui est nécéssaire à savoir de l'Aâpfull de Sora. Passons maintenant à un autre sujet, celui où je vous explique à quoi ressemble notre demoiselle quand elle utilise son don.
Les magnifiques cheveux de jais de Sora virent au blanc, comme celui des anciens (mais elle préfère utiliser le terme "blanc comme la neige"). Une sorte de lumière émane de son corps, l'entourant d'une auréole de froideur intense et tout aussi blanche que sa chevelure métamorphosée, l'enveloppant dans une sorte de carapace immatérielle. C'est à ce stade que le moindre contact avec Sora devient un supplice.
Après ces deux métamorphoses, Sora développe des sortes d'ailes fantomatiques, qui ne sont juste là pour la déco... Non, je plaisante, les ailes de Sora servent bel et bien à quelque chose. Avec la coquille de lumière glacée, les ailes aident à la protection de l'enveloppe corporelle et spirituelle de Sora. Cette dernière devient plus vulnérable psychologiquement et physiquement en combat, mais Métatron est là en tant que fidèle serviteur pour la protéger de toute attaque physique. La dernière protection psychologiue pour Sora, hormis les ailes, c'est une couronne.
Enfin, on appellerait ça plutôt une auréole, du point de vue de la religion. Quand Sora emprunte son Aâpfull, une couronne tout aussi fantômatique que ses ailes apparaît légèrement en suspension au-dessus de la tête blanche de Sora.
Cette couronne - qu'elle aime appeler la "perle protectrice" - n'apparaît qu'en ultime recours, ou lorsque Sora fait face à un ennemi qui a un Aâpfull qui agit sur le mental. La perle protectrice ne peut être détruite, ni affaiblie, ni échangée. Il est tout simplement impossible de la déplacer de la tête de Sora, sous peine de... mourrir. Et oui, dès que quelqu'un tente de faire un contact direct avec la couronne, le malheureux se fait carboniser sur place. Il ne reste même pas des résidus, à part une petite poussière indiquant son passage au pays des morts.
Liste des Archanges :
Spoiler:
Metatron, Ratziel, Tzaphkiel, Tzadkiel, Khamaël, Raphaël, Haniel, Mickhaël, Gabriel, Sandalphon, Remiël, Binaël, Uriel, Jophiël, Seatiel, Jéhudiel, Barachiel, Chamuel, Raguël, Suryâl, Fânu’él, Remiel, Samaël (Satan & Lucifer, double-personnalité), Azraël, Anazel.
.
Hors RPG
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Prénom :
Ça commence aussi par S...
▶
Âge :
Je n'ai pas d'âge car je suis une entité immortelle qui vous verra tous mourrir avant que je ne disparaisse à tout jamais. ~
▶
Comment tu as connu le forum :
J'en suis la co-fonda
▶
Pourquoi tu t'es inscrit :
Voir réponse ci-dessus
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Commentaire ? Mot ? Idée ? :
INSCRIVEZ-VOUS è__é
▶
As-tu lu le règlement ? :
Je l'ai édité.
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Le code du règlement :
Dernière édition par Sora Rodriguez le Jeu 25 Oct - 13:26, édité 5 fois
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Sujet: Re: Sora Rodriguez
Sam 30 Juin - 16:58
Alors, après un an et plusieurs mois de paresse, je termine ma fiche avec un grand soupir. Cette épreuve a enfin été surmontée! Bref, avec pas mal de lignes, quelques fautes qui ne sont pas importantes, et du soulagement, je suis ravie de me valider moi-même et de me trouver enfin dans la liste de ceux qui ont tout fini.
Yesss.
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Sam 2 Juil - 18:09
